

Le parcours professionnel de ce salarié en situation de handicap qui travaille dans une boulangerie est un bel exemple de parcours professionnel considéré comme soutenu. En effet, salarié, employeur ainsi que l’ensemble des collaborateurs de la boulangerie ont collectivement activé de nombreux leviers, internes et externes, pour favoriser son maintien en emploi et le faire évoluer.
Découvrez la vidéo illustrant ces bonnes pratiques.
Sous les effets de la crise sanitaire, cette entreprise normande de technologie financière (« fintech ») qui ne pratiquait pas le télétravail, a fait le choix d’un mode d’organisation combinant du travail en présentiel et du travail à distance. Management par la confiance, par le résultat, reconfiguration des espaces, charte de télétravail... sont autant de chantiers qui se sont ouverts au fil des derniers mois pour encadrer ces nouvelles pratiques de travail qui ont conduit à une transformation profonde des pratiques managériales et à de véritables « apprentissages organisationnels ».
L'activité de cette entreprise de nettoyage industriel normande repose principalement sur ses salariés, forces vives des services qu'elle propose. Face à des difficultés de recrutement et à un turnover important, l'entreprise s'est engagée dans une refonte de son parcours d'intégration des nouveaux salariés dans le cadre de travaux sur le volet social de sa démarche RSE. Pari gagnant pour cette entreprise qui a su faire évoluer ses pratiques !
Cette entreprise de production d'article textile rencontre des difficultés pour recruter et des compétences spécifiques sont menacées par des départs en retraites. La mise en place d'une AFEST est décidée pour créer des passerelles entre les métiers et conserver des savoir-faire particuliers en interne.
Cette synthèse s’appuie sur le retour d’expériences d’une quarantaine d’entreprises, d’associations et d’institutions normandes sollicitées par l’Aract Normandie. Les personnes interrogées, principalement des membres de la direction, ont accepté de témoigner sur la manière dont leurs structures se sont organisées pour travailler et poursuivre leur activité durant la période de confinement due à la pandémie de Covid-19. Il s’agit d’entreprises appartenant à des secteurs d’activité différents et de tailles différentes.
Une association de loisirs s'interroge sur les conséquences de la fin du dispositif "emploi jeune" sur son organisation du travail et sa gestion des compétences.
Effectif : 48 salariés
Activité : action sociale
Confrontée à des problèmes d'allergie aux produits, de manutentions inadéquates, de bruit et de flux inadaptés, une entreprise industrielle a souhaité modifier une partie de ses installations. Elle a choisi d'anticiper la nouvelle organisation du travail à partir d'une méthode de simulation des situations de travail.
Effectif : 940 salariés
Activité : fabrication de moules pour bouteilles e
Avec la rationalisation des moyens et la qualité du service à rendre au client, la fonction logistique est de plus en plus éclatée. Si elle semble inéluctable, l'implantation en réseau pose donc de réels problèmes d'efficacité de l'organisation et des compétences des salariés, particulièrement celles de l'encadrement. Pour certaines entreprises, la survie même est au cœur de cet
Cet établissement du secteur médico-social a connu des périodes de fonctionnement complexes, notamment liées au turn-over de ses directeurs et managers, ce qui a généré défiance et difficultés à travailler ensemble. Le dispositif ARESO doublé d’une démarche qualité de vie au travail ont permis de rétablir la confiance.
L’ADAEA est une structure associative de protection de l’enfance et d’adultes en danger qui compte 110 salariés répartis sur plusieurs sites dans l’Eure. Durant la crise, la direction et le CSE se sont engagés conjointement pour permettre aux salariés de poursuivre leur activité en télétravail et ainsi maintenir, dans la mesure du possible, l'accompagnement mené auprès d'un public fragile.
Inseraction est une association sociale et médico-sociale de 21 salariés dont l’objectif est d’aider personnes et familles à s’engager dans une dynamique de réinsertion sociale et/ou professionnelle. Pour réussir à poursuivre les accompagnements des bénéficiaires, l'association a du réinventer son organisation du travail et sa façon de travailler.
La prise de conscience avance progressivement et les démarches de prévention du stress au travail se multiplient dans les entreprises de Haute-Normandie. Démonstration avec l'expérience de Rouen Park.
Ce sous-traitant automobile fait partie d'un groupe leader mondial. Il doit augmenter ses parts de marchés et ses gains de productivité. Mais en même temps, les contraintes des conditions de production nouvelles ont des effets sur la santé des salariés. Il choisit d'intégrer, au cœur même de son organisation, une démarche globale de prévention des risques professionnels.
Chez CAPS, c'est à un sentiment de mal-être au travail que l'on a dû faire face. Au sein de cette association employant 73 personnes et œuvrant dans le secteur médico-social, quelques indicateurs signalent un problème de stress : les réunions internes sont tendues, les arrêts maladie se multiplient, des conflits éclatent entre collègues et le dialogue devient difficile en interne.
En expérimentant cette nouvelle organisation du travail, le Groupement régional des agriculteurs bio a aussi mis à jour ses points forts et ses fragilités, pour mieux s’y attaquer.
Dans cette chaîne d'une dizaine de pressings les repasseuses sont les principales salariées concernées par des TMS aux mains et aux poignets. L'analyse montre que les troubles touchent tous les salariés en magasin et plutôt les articulations de l'épaule. Elle met en évidence la plus grande fragilité des salariés à développer des stratégies de défense.
En anticipation de sa vente annoncée, une entreprise de l'agroalimentaire décide de se moderniser afin de rester compétitive. Elle saisit cette opportunité pour mettre en place une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences en prenant en compte l'organisation et les conditions de travail.
Effectif : 98 salariés
Activité : Fabrication de lait liquide et de produits frais
Comment définir la charge de travail dans une structure a priori bien organisée ? Un collectif d'auxiliaires de vie se trouve confronté aux problématiques de souplesse et de polyvalence dans un contexte où le partage des pratiques est peu développé.
Effectif : 66 salariés
Activité : accueil d'adultes handicapés
Depuis son intégration dans un groupe international, une entreprise industrielle de Haute-Normandie, spécialisée dans le secteur de la parfumerie, se transforme et se modernise. Elle décide de trouver des solutions globales de reclassement de ses salariés âgés ou en restrictions d'aptitude.
Effectif : 600 salariés
Activité : industrie de la parfumerie